De la composition, du travail de studio, mais plus de scène... peut-être un jour ...
Vincent a l’habitude depuis le début d’enregistrer toutes ses ébauches de chansons. En 1980 , au début, sur un simple magnéto cassette, puis en 1989 un magnéto 4 pistes, en 1996 un séquenceur Roland MC50 et depuis 2006 en MAO avec Logic. Un nom par défaut est attribué à ces essais. VPDN (pour Vincent pas de nom) puis TPDN (pour toujours pas de nom), NPDN (pour nouvelles pas de nom), MPDN (pour MC50 pas de nom) enfin LPDN (pour logic pas de nom).
L'exploration de ce fond montre que le nombre de compositions inachevées de l’époque Cocktails est important (environ 150 essais VPDN), la période 1989 - 1992 reste encore riche de compositions (l’espoir de remonter un groupe ???), mais ne donne lieu à aucune chanson complète avec environ 70 essais TPDN . De 1992 à 1996, études obligent, l’activité musicale reste très limitée (environ 20 essais NPDN). Vincent revient par étape à la musique, d’abord en 1996 quand lui est offert un synthé Roland JV 35 auquel est associé un séquenceur MC50 (20 titres MCPDN) puis surtout à partir de 2006 quand nous remontons un home studio digne de ce nom.
En parallèle avec l’activité de CKTL remix et de CKTL family, Vincent compose toujours (on en est à LPDN 116...)
La fin de Cocktails n’a pas signifié la fin de la musique pour Vincent, mais VTS ça veut dire «Vincent Tout Seul»... Il faut donc qu’il joue toutes les parties des compositions. Guitare, basse, batterie, clavier et chant... Si le dédoublement de personnalité est un standard de la psychiatrie, il est souvent un peu trop limité pour lui.